Le blog

Catégorie : Explorations dans les Alpes

Pour combler le retard….

L’absence de message sur le blog depuis novembre dernier commençait à inquiéter certains de nos lecteurs. Qu’ils soient ici rassurés  nous n’avons pas mis la clef sous le paillasson et d’ailleurs durant ces 3 mois nous n’avons pas chômé.  D’ailleurs, globalement, l’année 2013 nous aura offert quelques belles découvertes avec un cumul total de 8860 m de premières.

Voici donc un petit tour d’horizon de nos explorations du dernier trimestre de l’année 2013.

Avant la neige…

Durant les congés de la Toussaint une première équipe du GSHP de Tarbes est venue nous prêter main forte, suivie, la seconde semaine, d’une autre venue de l’est de la France.

  • Du côté de la Gandara

Avant que la neige recouvre le col de la Lunada, nous avons pu poursuivre nos recherches sur les landes qui bordent le flanc sud-ouest de la peña Lusa. Quelques nouvelles cavités ont été découvertes, d’autres ont fait l’objet de désobstructions rendues difficiles en raison de la présence de niveaux gréseux.  Nul doute qu’il s’agit là de chantiers de longue haleine, mais pas désespérés…

  • Retour à Buzulucueva

Après l’exploration des Vieux Croûtons, nous nous sommes intéressés à une zone située plus au nord et déjà bien étudiée dans les années 86 par le SGCAF (Grenoble). Aidés par les fermiers du coin qui ont compris l’importance des courants d’air à l’entrée des trous, nous avons ainsi pu découvrir plusieurs nouveaux gouffres dont certains sont en cours de désobstruction.  Une nouvelle visite des cavités connues a également permis de compléter l’inventaire en y ajoutant les topographies manquantes.

Tailleur de pierre...

Tailleur de pierre…

  • Autour d ‘Aitken

Malgré la proximité des deux cavités, nous ne sommes pas parvenus à jonctionner la Torca Aitken avec celle du Maxou Picchu. Du coup, nous avons déséquipé cette dernière, lui préférant la torca de los Rebecos découverte cet été. Après une paire de puits, nous sommes ainsi parvenus dans une grande salle parcourue par un très net courant d’air et un ruisseau temporaire. Celui-ci se perd dans un petit puits et une zone chaotique peu évidente à franchir. Peu avant cette salle, nous avons jonctionné avec une doline voisine par un méandre étroit reconnu cet été par Ludo. L’ensemble développe déjà quelques centaines de mètres et il reste plusieurs points d’interrogation à lever.

Le méandre de la torca de los rebecos

Le méandre de la torca de los rebecos

  • Dans la Carrera

Les explorations se sont poursuivies tant en amont qu’en aval. Dans le premier cas, ce sont des trémies qui nous ont arrêtés dans l’actif et le fossile. Un méandre affluent, étroit et tortueux, pourrait nous permettre éventuellement de contourner ces obstacles, mais rien n’est joué. En aval, plusieurs sorties ont confirmés l’existence de 3 niveaux superposés bien identifiés. Près de deux kilomètres ont été ainsi topographiés.

Vire pour atteindre l'amont de la galerie del Pedrito.

Vire pour atteindre l’amont de la galerie del Pedrito.

Participants : D. Boibessot, P. et S. Degouve, S. Latapie, A. Massuyeau, C. Philippe, G. Simonnot, N. et B. Vigneau

Séjour de fin d’année

L’équipe est plus restreinte et seul José Leroy nous rejoint pour quelques sorties désobstruction. Aussi, nous nous associons à nos amis de l’AEMT (Santoña) pour revoir le fond du canyon Est de la Cayuela. Cela nous trottait dans la tête depuis longtemps et rentrait dans une démarche plus large de révision de la topographie de cette cavité majeure du massif. En deux sorties nous avons entièrement revu le fond de la galerie et découvert un peu plus de 300 m de nouvelles galeries. Hélas, à chaque fois, celles-ci se sont terminées par de vastes puits remontants avec de forts courants d’air. Il nous reste quelques départs à voir.

Dans les nouveaux puits de la Cayuela

Dans les nouveaux puits de la Cayuela

Parallèlement, nous avons poursuivi les désobstructions dans quelques cavités de Buzulucueva. L’une d’elles a commencé à nous concéder quelques puits. Affaire à suivre…

Dans le même secteur et toujours en compagnie de nos amis de l’AEMT, nous avons ré exploré des gouffres déjà recensés par le SGCAF mais sans grand résultat.

Participants : Juan Jose Argos, Luis Ángel González (Pixi), Ana Sobrino, David de Dios, Alfredo Santos (Manoplas), Iván Expósito, Jose Miguel González (Josemi), Marcos Valle  pour l’AEMT et P. et S. Degouve, J. Leroy.

 

Le gouffre des Pigeons sur le Bargy (74)

Samedi 25 juin, 10 heures : Il est grand temps de partir à la conquête du Bargy et du gouffre convoité. C’est-à-dire de l’inutile….

Tof, son fils Albin et Frantz n’ont pu arriver hier soir, nous partons donc assez tard ce matin. La montée jusqu’au pied de la falaise est agréable et je leur fait découvrir une plante rare dans les Alpes du nord, le pavot des Alpes. Seul Albin, 21 ans, appréciera les 20 m d’escalade exposée aux chutes de pierres. Pour ce genre d’exercice, j’ai connu Frantz et Tof plus enjoués. Bien sur, il y a une corde d’assurance : une belle corde de 15 ans d’âge, noire, délavée et accrochée à une sangle pourrie à souhait. Je ne lésine pas sur la sécurité, moi !

Bref, la montée se fera dans une ambiance détendue, suspendus aux pins à crochets rabougris, nous réussissons à atteindre le gouffre repéré il y a bien longtemps. L’entrée ne correspond pas à mes souvenirs: elle se situe sur le bord du couloir, un peu en hauteur, se qui fait que nous sommes à l’abri des chutes de pierres.

Après une pente ébouleuse, s’ouvre un puits large et profond où débaroulent les blocs. Comment se fait-il ? Nous n’avons que 2 équipements pour 4 ! surement pour gagner du poids…l’organisation de la SAC illustre bien la notion d’infini !

Tof accroche la corde de 100m sur un pin, Frantz plante un spit au dessus de la verticale et Albin, qui n’a jamais planté un spit (mais déjà descendu des puits tout de même. On le met de quel coté le cône ?) équipe ce beau puits de 34 m (1 spit après 13 m de descente). Un large méandre est bien vite impénétrable après 5 m. Mais, en y regardant bien, derrière un petit trou tout au bout, c’est tout noir…. Il faut remonter car Frantz et Albin jugent qu’il est impossible de passer, trop étroit, hé ! 10cm ! Mais le GPS Dom-Dom nous dit que cela passe, alors on tape avec le petit marteau. On tape, on casse, on décoince les blocs à plat ventre. En surface, Tof se promène dans les champs verticaux, oui ! Dans la face nord du Bargy les champs sont verticaux !  Le GPS Dom-Dom persiste dans ses indications, les 2 autres compères s’obstinent aussi. Et après 2 heures de désob. Le passage est forcé à l’arrache : tricot et peau déchirés, pantalon au genou. Un petit élargissement de 3m x 1.50m (base d’un méandre amont arrivant au plafond) termine la cavité. Au sol, un conduit vertical impénétrable descend de 2 à 3 mètres, quelques gouttes l’empruntent vers l’inconnu. A 15 mètres de profondeur, un beau nid de chocards, ils semblent gris à la lumière des leds (à moins que ma vue baisse….) gris comme des pigeons d’où le nom du trou. Non, non, les pigeons c’est pas les copains !

En remontant, je tire (avec douceur….) sur un petit mousqueton à Frantz, comme c’est plaisant : il se tord gentiment à l’envers. C’est effectivement un joujou donné en pub par le conseil général du Doubs (c’est écrit dessus). La sécurité à la SAC illustre bien la notion d’infini !

La face nord du Bargy. Le gouffre des Pigeons s'ouvre sur une petite vire dans cet univers vertical...

Un bien beau gouffre, un peu court tout de même. Après une visite à la grotte du nez de l’Envers, le retour se fera par les Ranges, mes amis spéléos n’ayant pas voulu redescendre par la voie de montée, allez savoir pourquoi ?

GPS Dom-Dom

Camp estival du CAF Albertville sur la Sambuy

Extraits du compte rendu journalier :

Samedi 7 août 2010

1ère équipe : Jérôme et Yann vont au MS 51 pour escalader la grande cheminée du fond, le terminus de l’année 2008.

Nous partons après le déjeuner, étant arrivés au refuge en fin de matinée. La cavité reste pénible et étroite malgré les travaux effectués par les équipes précédentes. Jérôme me guide jusqu’à la fameuse escalade.Nous commençons à nous équiper et une fois prêt, j’entame l’escalade pour me rendre compte, au premier gougeon, que nous avons oublié le marteau !

Le moment de doute passé, je trouve un caillou qui fera l’affaire. Heureusement, toute la cheminée pourra être gravie en libre en posant six gougeons pour arriver sur une fracture impénétrable sans espoir de continuation (qu’elle bonheur, tout ça pour rien !!).

Je pose un relais, descend en rappelle et rejoint Jérôme heureux de reprendre une activité physique pour se réchauffer. Nous déséquipons l’ensemble de la cavité, posant plusieurs rappels en laissant le moins de matériel possible. Il nous faudra retourner au bas des puits après une première sortie, pour ressortir les trois kits bien remplis de corde, perfo, amarrages…

Sortie et retour au refuge à 21 heures, Jean-paul et Fred ayant déjà préparé un bon repas fort appréciable.

Yann Tual

2ème équipe : Jean-Paul et Fred vont prospecter pour retrouver le MS 25 dont la trace s’est perdue depuis 25 ans.

Seule l’altitude donne une indication précise  pour les recherches, mais la zone a été très chahutées par la tempête de 1998 ce qui rend difficile la suite. Nous devons progresser dans un chaos de branches et d’orties rendant la tâche plus difficile. Nous nous séparons pour doubler nos chances et finissons par nous perdre de vue.

Après une heure de fouille, Jean-paul en ayant jouer « Indiana Jones » et à « saute mouton » dans l’imbroglio des branches, retrouve avec une grande joie le MS 25. Le trou est en partie recouvert d’un épicéa arraché par le vent.

L’ancien marquage reste encore présent sur la roche près de l’entrée : dans le sac pas de GPS ! pas de matériel de repérage ! C’est la cata !!! Comment faire pour revenir l’explorer sans le matos ? Mais le vieux brise quart utilise les anciennes méthodes des années 70. Depuis le trou, d’abord un cairn pour marquer l’entrés et ensuite un rouleau de PQ complet déroulé petit bout par petit bout et (tels le petit poucet) à intervalles réguliers accrochés aux branches qui finissent par réaliser un jeu de piste. Cette méthode nous permet de recouper un sentier connu (le pas de l’ours) qui rejoint la Bouchasse au bas de la station et d’arriver sur le MS 70 dont les coordonnées GPS sont connus.

Les deux cavités distantes de 1000 mètres environ sont à proximité du sentier. Demain, le grand jour pour faire l’explo et pérenniser la découverte par la topo.

Frédéric Chauvin

Dimanche 8 août 2010

Participants : Jean-paul LAURENT, Frédéric CHAUVIN, Christian DEVIN, famille POLETTI

Temps calme mais nuageux. Après des retrouvailles du vendredi soir, une bonne soirée arrosée près du feu de bois, nous nous couchons vers minuit. Le matin, nous préparons deux objectifs :

Equipe 1 : l’exploration du MS 25 et la topo : Jérôme et Jean-paul

Equipe 2 : l’exploration du MS 128 (grotte des sudistes, continuation de la désobstruction entamée l’année précédente par Christian DEVIN, Fred et France) L’équipe de se jour se compose de Yann et Fred : une journée à désobstruer mais le travail avance lentement.

Equipe 1 : Avec Jérôme nous avons passé 5 heures à équiper et topographier le MS25. Ensuite nous sommes remonter et marquer les cavités 72-72a-72b-72c-72d. Réseaux de failles successives à proximité du MS25 et placé sur l’itinéraire du sentier botanique.

Vers 17 heures : arrivée par la télésiège de Christian DEVIN, de Stéphanie et de Mario et Manon et départ de Yann qui reprend le boulot.

Equipe 2 : Fred et Yann font un agrandissement de la première étroiture du MS 128. Donc le jeu est de tirer des blocs, des blocs et encore des blocs en espérant pourquoi pas un passage…. Qui sait ?

Frédéric Chauvin

Lundi 9 août 2010

Participants : Jean-paul LAURENT, Frédéric CHAUVIN, Christian DEVIN, famille POLETTI

Beau temps. Deux groupes sont constitués :

Le premier groupe : Jérôme emmène Mario et Manon au MS118 pour une visite d’initiation. Mario, le grand frère (8 ans) habitué à la pratique de la spéléologie depuis 4 ans et Manon sa petite sœur âgée de 5 ans.

Mais cette sortie est la première sur la Sambuy tous les trois. Le grand frère devant durant toute la cavité, suivi de Manon qui se faisait expliquer les positions afin de bien progresser dans les lieux et le papa qui ferme la marche. Une agréable sortie en famille !!!

Mario et Manon à l'entrée du MS 108, la relève est assurée...

Le deuxième groupe : constitué de Fred, Christian et Stéphanie attaquent la suite de la désobstruction aux cartouches du MS 128 (le trou des « sudistes » !). Entrée dans la cavité vers les 11 heurs.

Dans un premier temps, Fred ainsi que Christian me font un topo de la situation en me faisant progresser dans la cavité et me montrant l’objectif. Le travail commence, Fred fait péter les gros blocs et avec Christian nous tirons les débris vers une salle plus grosse derrière nous. Pendant ce temps Jean-paul prospecte sur les hauts du lapiaz et nous attendra pour manger.

J’avais oublié que la spéléo s’est du boulot !!!! Mais au moins nous n’avions pas froid. Christian prend la relève pour quelques tirs et ressort quelques instants après car il se plaint d’une onglée mais en passant nous invite à vite aller voir…… Alors voire quoi ? Est-ce que cela continue ou bien toute cette énergie épuisée pour rien ? Fred décide de passer le premier, je le colle mais il ne dit rien. Je m’acharne à savoir ce qu’il voit mais ne dit rien…. Bon… Il se retire et me dit de passer la tête. J’y vais et que vois-je…… ça file mais le travail n’est pas encore fini. Nous continuons à faire péter des blocs. Le passage est ouvert. Fred passe de l’autre côté de la fissure et ne nous précise toujours pas comment c’est ! Il retire des blocs de l’autre côté afin d’assure un minimum de stabilité puis nous fait passer. Quelle surprise, une petite salle avec une pente douce allant vers quoi, ça nous ne le savons pas encore. Christian arrive et est également agréablement surpris.

L'entrée du MS 128

Maintenant, un débat commence : que faisons nous ? Alors moi la situation était très claire, aller voir au fond !! Logique, l’homme est tout de même un être curieux ! Mais Fred et Christian préféreraient attendre Jérôme. Mais comme les femmes sont très fortes en persuasion, ils m’accordent de descendre un peu mais pas trop loin… Au cours de la descente on peut apercevoir des concrétions surtout au plafond et une petite étroiture (mais le passage est possible). Fred et Christian me rappellent à l’ordre, et ne veulent pas que l’on progresse plus loin. Alors je progresse et ils seront obligés de me suivre et cela sans remords !! Nous retrouvons une salle magnifique avec des éboulis et des amorces dans tous les sens. L’instinct spéléo a parlé et nous voilà tous en train de chercher un courant d’air. Fred passe sa tête dans une petite fenêtre qu’il va falloir agrandir. Mais cette fois nous arrêtons là et décidons de refaire demi tour pour manger. La spéléo ça creuse !!! Et surtout que Jérôme, Mario, Manon et Jean-Paul doivent nous attendre.

Lors de lors progression vers la sortie, nous entendons des voix de personnes se dirigeant vers nous. En fait, il s’agissait de Jérôme et de Mario qui savaient que nous étions passés. On les rencontre à mi-chemin avec le sourire jusqu’aux oreilles. Nous leur expliquons la suite de la grotte qu’ils vont finalement visiter.Nous, nous sortons, toujours aussi heureux et exciter d’y retourner. Nous attendons Jérôme et Mario pour manger et profiter quelques instant pour du beau temps et du paysage.

Après ce copieux repas (pas équilibré !!!) nous décidons de redescendre dans la cavité mais avec cette fois Jérôme et Mario qui nous rejoindrons quelques minutes plus tard, une fois que Fred aura fait péter la fameuse petite fenêtre car Mario craint les pétards. Et puis il faut bien laisser Jérôme marquer le trou et faire son initiation topo !!!  Nous retournons donc tous les trois dans le trou et allons au fond rejoindre Fred qui est déjà passé dans la fenêtre qui donne sur une grande cheminée. Une escalade est possible. On se tâtonne quelques instant et en finalité Fred décide de grimper. Grande déception…. Fred laisse la corde pour que Jérôme puisse aller faire un petit tour et regarder mais la cavité semble bien terminée.

Bilan de cette journée de reprise de spéléo : j’aurais un bon souvenir de ma journée avec beaucoup de joie pour la première (50 mètres de belle galerie) et surtout pour la reprise d’une activité physique, mais aussi de déception car tout s’arrête !!!!!

TPST : 5 heures

Stéphanie

Mardi 10 août 2010

Participants : Jean-paul LAURENT, Frédéric CHAUVIN, Christian DEVIN,  Jérôme et Mario POLETTTI, Cécile VANTEY

Départ de Stéphanie avec Manon et Cécile le matin vers les 11 heures. Le temps est maussade. Mario reste avec Jean-paul, Jérôme, Frédéric et Christian. Ils remontent au MS 128 pour la visite et chercher d’autres suites dans la cavité.

Une escalade est tentée au fond mais sans succès car la roche est trop pourrie. Après un autre diverticule est exploré mais également sans suite. Jérôme et Fred ramènent les mesures afin de pouvoir effectuer la topo.

Jean-Paul remonte au MS 89. La grande faille sous l’arête qui exceptionnellement cette année le névé qui empêchait toute exploration est très ramollie par les pluies du printemps. Il serrait opportun de tenter le passage en enlevant la neige.

En fin d’après-midi, Christian, Jean-Paul et Mario prospectent en aval du MS 50. Vers 17 heures, arrivée de Jean-claude et Dadoux du club  de Carpentras. Nous leur accordons un accueil chaleureux et une découverte du site sur le magnifique massif de la Sambuy. Au programme, feu de bois et se qui va de paire un bon repas sympa.

Fred

Mercredi 11 août 2010

Le temps est mitigé et sec.

Participants : Jean-paul LAURENT, Frédéric CHAUVIN, Christian DEVIN,  Jérôme et Mario POLETTTI, Dadoux et Jean-claude.

Fred, Jean-claude et Dadoux s’en vont continuer le MS 118 (face au refuge) pour élargir aux cartouches, la suite n’est malheureusement pas pour aujourd’hui !!!!

De retour vers les 13 heures, nous mangeons ensemble sur la terrasse.

Petite visite guidée des principaux centres d’intérêts (cavités) de l’ensemble du massif et séances de photos de la flore et des failles partagées par Jean-claude et Jean-paul. Retour tard le soir pour l’apéro. Rapatriement du matériel laissé sur la terrasse et pluie dans la nuit.

Fred

Plus d’infos sur le massif de la Sambuy : http://karstexplo.fr/KarstdesAlpes/Sambuy.htm

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